Istanbul respirait mollement par-dessous la chaleur du Bosphore, ses collines chargées de silences antiques et de pas pressés. Dans un manufacture anonyme entre les colonnes d’un ancestral caravansérail, une masculinité aveugle, nommée Elif, façonnait des mosaïques à bien l’aide de fragments de cristal, d’os polis, et d’ivoire récupéré. Chaque trésorerie https://arthuruhrbl.ageeksblog.com/32971842/la-surface-et-l-ombre