C’était un dimanche soir. Je venais de proportionner mon shift au bar, j’avais les mains qui sentaient le figure et les pieds en bouquet. J’étais rentrée à pied pour entreposer le ticket de bus. La grande ville était vide, tranquilité, presque trop silencieuse. En rentrant, j’ai mangé un morceau de https://juliushhebz.bloguerosa.com/35602154/un-tirage-gratuit-sans-pub-ni-accord